Départ : Ceillac (Les Claux) (2009 m)
Longueur : 15 km
Denivelé : 1200 m
Massif : Queyras / Alpes Cottiennes
Sommets associés : Tête de la Cula
Topos associés
Sortie du mardi 20 juillet 2010
Conditions terrain
Sentier sec sur tout le topo (hormis à proximité des torrents).
Compte rendu (par Geux)
Afin de motiver les troupes, je propose à mes deux compères un topo « facile » (1200D+), un 3000 à la clé et une superbe descente épinglue et technique.
Vu la sortie, j’organise un départ de Gap tardif, ce qui fait qu’on attaque la ballade à 10h50 au Parking.
La montée est assez cool sur ces 400m D+, même s’il y a qq coups de cul et de nombreux moments ou il faut se battre pour rester sur selle (caillase…)
Après, on pousse/porte puis à nouveau qq brins de roulage … le tout se renouvellent jusqu’au ressaut final avant le Col de la Cula.
Arrivé au sommet, la récompense est là :
Un panorama de DINGUE :cool: :D :D à 360°, permettant d’admirer les montagnes du Vercors à la Haute-Savoie en passant par le Mercantour … le tout avec un ciel vraiment EXCEPTIONNEL :cool: :cool: !!!
(c’est à ce moment d’ailleurs que vous pouvez me lyncher de ne pas avoir d’APN pour avoir pris des photos de cette sortie…)
Après un pic-nic *****, on enfile les protecs et là :
« Ah putain les gars, j’ai pu qu’une seule jambière ! » 8O 8O
L’esprit du Geux avait frappé !
(Le départ un peu speed du parking m’avait fait oublier d’attacher solidement les protecs à mon sac...)
…Pourtant, et ce après 15min de débat sur l’itinéraire de descente (A/R pour moi pour récup la protec, ou suivre l’itinéraire prévu avec une seule jambière…), un couple de randonneurs (béni soit leur bâtons de marche !) me raporta la jambière, qui annonça dans la minute qui suit le parcours des crêtes (magnifique) pour rejoindre le Col Sud du Cristillan.
Au col, pas de temps à perdre, je Voulais savoir à quoi ressemblait ces fameuses épingles.
Au final 70% des épingles sont réussites, (de façon plus ou moins propre, heeein Renaud :D ), parce que même avec une bonne idée de comment faire un nose, le grip très aléatoire dans les gravettes avec une forte pente rend le moindre nose difficile, toutefois c’est le seul moyen de passer certaines épingles, comment dire très difficiles ! Trop Booon !
Après sa, on rejoint le sentier de montée, sympa mais sans plus jusqu’à la section herbeuse, puis après un gros lâchage de watts on est déjà de retour à la voiture.
A Ceillac, mon plan bonus Ravin des Aiguillettes est abandonné au profit d’un plan bistrot/glaces. Mort bon après une journée très ensoleillée ! :cool: :cool: :cool:
Le Problème, c’est que la LOOSE frappa à nouveau, avant la fin des gorges du guil.
A l’arrêt, je croise en voiture un Gros Bourrin de M**** :evil: :evil: :evil: , qui ne voyant qu’il n’y a pas de place pour sa caravane ne trouve que à accélérer à fond, histoire d’accrocher méchamment le pare-choc de ma twingo.
Et le pire dans tout sa, c’est que même si je n’étais pas en tord de l’accident, la feinte de ce salaud (ne pas appuyer sur le papier, pour ne pas faire ressortir sur le carbone)fit que, profitant de ma panique et ma débilité permanente, je me retrouvais en tord, étant le seul à avoir dit quelque chose (avoir mordu sur la voie adverse).
Suite au prochain épisode (attente de la réponse de l’assurance, mais je n'y crois pas).
PS : désolé pour la qualité médiocre des photos, elles sont prises avec mon tel.
Avec : Renaud

