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Salut les toons 😊
On se prend la tête dans l'espace de modération sur une question existentialiste.
Dans les topos il un champ "portage". La question est de savoir si il faut y inclure, ou non, le poussage.
Certains avancent que le poussage ne peut être quantifiable car ça dépend beaucoup du cycliste, et où certains poussent sur 500m d'autres ne mettent pas le pied à terre.
D'autres avancent que le poussage c'est pas du vélo, donc il faut le compter comme non roulage, sachant que si certaines rares brutasses épaisses passent tout sur le vélo, la majorité des cyclistes posent à peu près le pied au même endroit.
Pour résumer : qu'aimeriez vous trouvez comme critère : "Portage obligatoire" ou "Portage/poussage" ?
A vous
Portage/ poussage obligatoire 😄 😉
Parce que là où certains portent, d'autres poussent 🤣 🤣
Faut aussi se mettre à un niveau "moyen", y'aura toujours des boeufs pour rouler là où les autres poussent (ou portent) mais bon..
Et puis les topos sont là pour donner une "indication" après si les gens arrivent à rouler tant mieux 😎
Bonjour,
Je penche plus pour "Portage/Poussage obligatoire".
Car personnellement, je repousse le portage aux parties vraiment raides, bref, j'ai tendance à pousser le vélo à certains endroits où d'autres cyclistes porteront déjà leur vélo.
Au suivant!
On s'en fout !
La notion de portage est devenue une appellation générale. Il faudrait dire non-roulage pour être cohérent.
De plus, selon les goûts de chacun, la même montée va être poussée ou portée.
Le principal, c'est qu'on sache que ce sont des portions où l'on ne pas trop fier d'être venu en vélo 🤭
Portage/poussage si la configuration du terrain permet les deux suivant la technique de chacun, sachant que certaines parties ne peuvent être que portage.
Portage/Poussage Obligatoire pour ma part également 😉
Ce champ devant indiquer (selon moi) une difficulté topographique qui impose de descendre de vélo (pour la majorité d'entre nous, on est pas tous des extra-terrestres).
Après, que ce vélo soit sur l'épaule (ou le dos selon les techniques) ou sur terre à côté de soi, peu importe : On est plus dessus 😉 .
Ensuite, le choix entre pousser ou porter dépend des préfèrences de chacun : certains ne poussent quasi jamais et portent dès qu'ils descendent de vélo, et d'autres tentent de repousser le moment ou le vélo va finir sur l'épaule/dos 😉 .
C'était d'ailleurs comme ça que j'avais interprété le champ actuel Portage (j'y avais inclus les poussages obligatoires) 😉
En ce qui me concerne je repousse le plus possible le moment du portage... et j'aime dans les topos lorsqu'il est préciser portage obligatoire (= impossible de pousser) ou poussage/portage.
Quand je vois un topo de 3000m de D+ avec 1500m de portage, je me dis pas pour moi... alors que s'il s'agissait de 1000m de poussage + 500m de portage why not... j'ai bien embrouillé tout le monde maintenant 😄
A ce compte là, il vaudrait mieux carrément créer un degré de difficulté en terrain non-cyclable
genre :
PP1 = poussage sans effort à l'horizontale (ex : passerelle hyper expo),
PP2= poussage sur sentier raide mais roulant,
PP3= poussage ou portage avec franchissement de petits obstacles (troncs, rochers),
PP4=portage obligatoire avec pose d'une main,
PP5=Portage sur passage extrêmement raide / escalade niveau II.
Comme ça chacun voit précisément de quoi il s'agit.
Un cycliste chevronné passera du PP2 sur le vélo, un trialiste du PP3 aussi sur le vélo, seul un alpiniste expérimenté passera du PP5...
Yann a dit :Et le portage descente on l'indique où ? 😜 😎 😉
Sur dalle calcaire ? 😉
Rassure toi on est plusieurs à faire des trucs comme ça et pas forcément sur calcaire 😄
+1 pour la proposition de papyrobert.
Après, histoire de mettre le doute encore plus, faut-il évaluer le portage, le caractère non roulable d'un topo en dénivelé ou en distance (km) 🤣