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Sorties > Inde > Tanglang La, tso kar - tso moriri

Tanglang La, tso kar - tso moriri

Région : Inde
Départ : Rumtse (4320 m)

Longueur : 300 km
Denivelé : 3500 m

Sommets associés : Tanglang La

Topos associés

Sortie du mardi 24 septembre 2013

francois

Conditions terrain

Pistes plus ou moins bonnes; petites routes irrégulièrement goudronnées.

Compte rendu



Jour 1: D+: 200 m; 50 kms.
Départ de Leh assez tardif en taxi pour rejoindre Rumtse où l'on arrive vers 12h. Il faut un peu de temps pour charger les vélos, discuter avec des touristes qui partent pour un trek de quelques jours, manger un peu au bistrot du coin, bref nous voilà sur les vélos vers 14h. La route semble goudronnée et nous apprenons que nous sommes à 34 km du col; l'altitude est de 4200 m, il nous reste donc 1100 m de dénivelé. Nous sommes acclimatés depuis longtemps mais, monter à 5300 m avec des vélos chargés, ça nous en impose un peu quand même... On part tranquille. Pas pour longtemps car un gros orage semble gonfler au dessus du col, les rafales de vent se font sentir jusqu'ici. Nous préférons nous arrêter ici, le vallon est campable, il y a de l'herbe, de l'eau. Il est 16h, Nous n'avons fait que 200 m de D+, mais tant pis...

Jour 2: D+: 1100 m; D-: 800 m; 60 kms; 12h.
Pas de vent, il fait beau, on plie le camp rapidement et on part. la route est toujours goudronnée, tant mieux. Il y a un peu de trafic mais ce n'est pas du tout gênant, ça monte doucement mais ça monte. Le pente de la route n'est pas raide du tout, certainement pour s'adapter aux moteurs plus ou moins poussifs à cette altitude, un peu comme nous avec tout notre barda !
Nous nous arrêtons assez régulièrement pour nous reposer et/ou manger, ça va assez bien jusque vers 5000 m. Au dessus, ça se gâte un peu: qu'il est lourd ce vélo ! Peut-être que par ici G vaut un peu plus que 9.8 ? Nous finissons pourtant par arriver au col, Patricia en meilleur état que moi. Tanglang La, 5325 m: c'est le deuxième plus haut col routier du monde, ça classe ! Il fait froid, le temps n'est pas terrible, on voit bien qu'il ne va pas tarder à grêler ou grésiler, il y a un peu de vent et c'est un peu hagard que je tente de faire (ou de faire faire) quelques photos de nous près de la borne matérialisant le col. Il y a 2 ou 3 voitures dont les passagers descendent quelques instants, pour remonter très vite à l'abri, il ne fait vraiment pas chaud. Un "local" nous invite (moyennant 30 roupies) à boire un thé chaud à l'abri, dans le petit temple qui surplombe le col. ca fait du bien, et 1/2h plus tard, nous entamons la descente.
Ce qui nous attend m’impressionne assez: nous allons descendre vers ce qui semble être un désert balayé par le vent et les orages de grêle. Il ne semble pas y avoir d'eau, en tout cas nous ne voyons aucune rivière pourtant indiquées sur notre carte. Et d'ailleurs, nous venons de discuter avec une équipe de scientifiques américains venus étudier la sécheresse actuelle des lieux, et essayer de comprendre pourquoi les rivières ne coulent plus.
Nous n'avons plus que 2 litres d'eau et je me sens inquiet, vulnérable. Patricia semble s'inquiéter moins que moi, j'envie son optimisme...
La descente est longue, sur une piste en mauvais état et qui ne descend pas vite, mais le vent se calme et la température remonte. Au bas de la pente vers 4600 m, nous arrivons quelque part: il y a une maison et 2 grandes tentes: c'est l'hôtel-restaurant du coin, nous sommes à Debring ! On commande une assiette de riz/lentille qui nous retape bien, et on fait le plein d'eau car tout est effectivement très sec. Nous roulons dans un petit nuage de poussière soulevée par nos roues, heureusement qu'il n'y a aucun trafic !
Nous quittons bientôt la piste principale qui va vers Manali pour prendre une piste à gauche qui va nous mener au lac Tso Kar. D'un seul coup, la piste est goudronnée,on se demande bien pourquoi. Il y a toujours zéro voitures, nous avons maintenant le vent un peu dans le dos, ça descend légèrement et nous arrivons assez vite à Thukje, village de quelques maisons. Il est 18h et ça fait 12 h que nous sommes dehors, dont 10 h de selle. Repas (riz/lentille) sous une grande tente pleine de courants d'air (il fait nuit et nous sommes à 4600 m) et nuit sous un toit où il fait un peu meilleur...

Jour 3: D+: 400 m; D-: 700 m; 35 km; 9h.
Beau temps le lendemain et on sent que la journée sera chaude. Ca démarre tranquillement le long du lac sur une piste vaguement goudronnée; nombreux arrêts pour observer des grues qui elles-mêmes nous observent du coin de l’œil afin de s'éloigner au fur et à mesure que nous les approchons; normal, c'est le jeu....
Puis le goudron laisse la place à une piste sableuse très énergivore; la vitesse, pas très élevée, chute encore... Il fait chaud, sec et ça commence à monter. Vers 4800 m, nous rencontrons un groupe de trekkeurs arrêtés au bord d'un petit ruisseau qui était à sec plus bas: chouette, on va pouvoir trouver de l'eau dans ce désert ! Mais la piste grimpe et on commence à en baver. On finit quand même par atteindre le col (4980 m) et la halte rituelle devant les drapeaux à prières est la bienvenue. Il fait chaud mais de gros nuages noirs gonflent à l'Ouest et il ne semble pas impossible qu'on se ramasse un grain...
Nous entamons la descente sur une piste de plus en plus mauvaise et on n'avance toujours pas bien vite. Soudain, vers 4500 m, alors que rien ne le laissait présager, goudron ! Il ne reste plus qu'à se laisser rouler sans pédaler (ça descend un peu) et j'en profite pour faire un petit film, c'est tellement inattendu ! Encore plus inattendu: une construction neuve de plusieurs bâtiments entourés d'une grille: nous franchissons le portail, ouvert, afin de savoir de quoi il s'agit; 2 jeune filles occidentales nous renseignent: il s'agit d'une école pour les enfants des réfugiés tibétains, parait-il nombreux dan la région.
Et effectivement, quelques km plus bas, il y a quelques tentes avec des gens assis par terre qui nous regardent arriver. L'endroit est beau, bucolique, vert, les tentes sont montées au bord d'une grosse source, pourquoi ne pas camper là nous aussi ? Il est 16h, l'orage menace, c'est décidé, on s'arrête là, d'autant plus que nous sommes à quelque centaines de mètres d'une source chaude ou Patricia se baignera (bain de boue en fait); mais pas moi, ça ne faisait vraiment pas envie ! De retour du bain, la conversation s'engage avec nos voisins de tente, difficile à cause de nos anglais (surtout le leur !) rudimentaires mais ils nous expliquent qu'ils sont une famille de réfugiés tibétains. Ils passent l'été ici avant de redescendre un peu plus bas pendant l'hiver. ils tiennent absolument à nous inviter sous leur grande tente pour le repas du soir, ce que nous acceptons bien volontiers, avec le secret espoir en ce qui me concerne qu'on échappera au riz/lentille... Et bien non, mais c'est pas grave; nous mangeons aussi des "momos", genre de raviolis de farine de blé ou d'orge, cuits à la vapeur et souvent farcis avec des légumes ou de la viande (mais pas là...).

Jour 4 : D+: 650 m; D-:400 m; 50 km; 9h30.
La descente continue pour atteindre le point le plus bas de la région (4300 m) où nous devons trouver une piste qui remonte vers le lac Tso Moriri. Le coin est sauvage, à nouveau désertique et c'est de plus une zone géothermique; on peut voir ça et là des jet de vapeur ou des sources chaudes. Un peu plus bas, apparaît -à notre grande surprise- un village, non indiqué sur notre carte: nous sommes à Puga Sumdo et c'est là que nous rejoignons la route plus classique par laquelle les touristes montent en 4X4 de Leh au Tso Moriri. Cette route est goudronnée et finalement, ça ne nous déplait pas, d'autant plus que le Trafic est très faible ! Quelques kilomètres plus haut, se présente un "Tea Shop": ça tombe bien, Patricia commençait à hypoglicémiser, n'ayant pas assez mangé au petit dej'. Une omelette et quelque chapatis plus tard, nous repartons en direction du col à 4800 m qui nous sépare du Tso Moriri. Nous y arrivons assez facilement, en partie grâce au goudron qui améliore grandement le rendement...
Descente rapide (toujours le goudron) sur un premier lac à 4700 m, le Kiagar Tso. Le paysage est splendide, l'eau bleue et nous ne résistons pas au plaisir de descendre au bord même du lac. Un fois au bord du lac, Patricia ne résiste pas au plaisir de s'y baigner; moi, si. L'eau est pour le moins fraîche, altitude oblige...
Le goudron a cessé depuis quelques kilomètres et il nous faut remonter vers 4800 m dans une zone plus plate mais un peu sableuse où le rendement de nos vélos chargés ne s'améliore pas. Mais l'ambiance est unique, proche de l'image que nous nous faisons de la Mongolie, avec des sommets enneigés et des glaciers dans les lointains, des montagnes aux formes plus rondes au milieu desquelles nous roulons, et des nuages de plus en plus noirs qui traversent le ciel à une allure soutenue.
La piste fini enfin par descendre, mais son état empire au point de nous ralentir autour des 7 à 8 km/h, pourtant en descente ! Le grand lac Tso Moriri se rapproche mais pas vite. Nous arrivons au bord du lac vers 16h; d'après la carte, il ne reste plus qu'une petite dizaine de kilomètres et nous trainons un peu pour profiter des lieux et observer les grues et les canards qui vivent là.
Enfin, nous arrivons à Korzokh, certainement un des villages les plus hauts (4600 m) et les plus isolés du monde. La première chose que nous en voyons, c'est le poste de contrôle ou deux militaires nous demandent notre permis (obligatoire pour circuler dans cette zone). Ils savent à peine écrire mais ils sont contents de voir des touristes à vélo et nous font de grands sourires ! Et c'est très émus que nous faisons notre entrée dans Korzokh: nous en rêvions déjà il y a 3 ans et ce rêve n'avait pas abouti à cause des pluies diluviennes et catastrophiques qui avait touché le Ladakh (et accessoirement contrarié nos plans). Mais aujourd'hui, nous y sommes ! Le soleil descend sur l'horizon et vient éclairer des hautes montagnes (6650 m) qui surplombent la rive orientale du lac, en face de nous..
Il y a un peu d'animation, quelques touristes venus en voiture ou en moto et nous trouvons facilement un "home stay" pour la nuit, et de quoi manger sous une grande tente qui fait office de restaurant; ce soir, c'est riz/lentille (pour changer).

Jour 5 : D+: 500 m; D-: 1000 m; 70 km; 11h.

Le timing est en fait très serré et nous n'avons pas le temps de prendre une journée pour nous balader dans ce coin extraordinaire. Aussi, nous nous levons tôt et partons, chacun de notre coté, Patricia à pied pour tenter d'observer des oiseaux au bord du lac, et moi en vélo pour aller voir un peu plus loin. Lever de soleil magique, puis il faut partir.
Nous reprenons donc la même piste qu'hier. Très vite, on s’aperçoit que le temps est instable et j'observe du coin de l’œil les cumulus se transformer en Cumulonimbus (déformation professionnelle sans doute). Aujourd'hui, pas de baignade dans le lac, c'est plutôt la fuite pour espérer passer entre les gouttes. Fuite assez lente d'ailleurs car il faut remonter à ce petit col à 4850 m et évidemment, on a le vent de face. La descente est plus rapide, mais l'orage semble se cantonner sur les hauteurs, on a l'impression de l'avoir moins à nos trousses et nous prenons le temps de nous arrêter au boui-boui un peu avant Puga Sumdo pour nous recharger en énergie (nouilles chinoise pour changer un peu).
La descente se poursuit dans une vallée extraordinaire, assez encaissée où l'on n'aimerait pas être pris par un orage. Plus ou moins inconsciemment, chacun de nous cherche, tout en roulant (assez vite, ça descend) un éventuel abri en cas de montée soudaine de la rivière ou de chute de pierre entrainée par un éventuel orage. Nous découvrirons cette étrange communion inconsciente plus tard, en en reparlant le soir.
Au bout d'une quinzaine de km, la vallée s'élargit un peu et nous arrivons au confluent avec l'Indus. La route descend toujours, mais la vallée est pour le moment plus ouverte et moins raide. Nous commençons à penser que nous allons arriver à Chumatang ce soir; on nous a dit que c'était "a nice place", avec des sources chaudes, des thermes et même un hôtel ! Et effectivement, 20 kilomètres plus tard, nous y voilà: au premier abord, ça ne paye pas de mine. Quelques maisons décrépites, de la terre, de la boue, une zone humide qui fume (la source thermale ?) un peu verte à cause des algues qui prolifèrent dans l'eau chaude, une cahute en béton au bord des algues, on n'est visiblement pas à Vichy ! On ne tarde pas à comprendre que la maison décrépite, c'est l'hôtel e ton nous explique que la cahute, c'est l'établissement thermal. Rarement vu un hôtel aussi sordide ! D'ailleurs, au bout de quelques minutes, on n'arrive pas à s'y faire et on demande si nous ne pourrions pas dormir à l'annexe, légèrement plus avenante. Mais l'annexe est un peu plus loin, et ça a l'air d'emm... prodigieusement la tenancière de nous y amener, d'autant plus qu'il commence à pleuvoir. Mais elle finit par accepter; c'est 2 fois plus cher, mais 600 roupies, ça ne fait jamais que 8 €... Puis vient l'heure du bain dans l'établissement thermal: la cahute fait 9 m2 et comprend 4 murs, une fenêtre sans carreaux et une porte qui ne ferme pas; avec le petit vent qui commence à souffler, il y a quelques courants d'air qui ne facilitent pas le déshabillage. L'eau arrive de la source thermale par un petit canal; très chaude, il faut la mélanger harmonieusement avec un autre canal d'eau froide au débit réglable; et tout cela porte le nom (légèrement pompeux à notre avis) de "Chumatang Hydrothermal Complex". Évidemment, nous y sommes seuls, il n'y a que des touristes étrangers pour se tremper là-dedans !

Jour 6 : D+: 400 m; D- 700 m; 50 km.
Nous quittons fébrilement la station thermale. Nous suivons l'Indus qui descend, mais de là à penser que la route descend tout le temps, il y a un monde ! Le relief vigoureux, des cônes de déjections immenses venus s'étaler dans le fond de la vallée contraignent la route -et nous aussi !- à de sévères remontées. L'indus se fraye maintenant un chemin par des gorges étroites au travers d'une haute chaine de montagne. Nous sommes encore vers 4000 m et les sommets, parfois enneigés, nous surplombent de mille bons mètres. Les parois sont raides, les gorges sinueuses et il est impossible de savoir à l'avance si la vallée va s'orienter à gauche ou à droite. D'ailleurs, peu importe, il suffit de suivre la route et ses caprices. Vers midi, le temps, très moyen jusqu'ici, s'améliore et il fait subitement chaud dans ces gorges aux parois chauffées par le soleil. Il ne doit pas faire bon y rouler par forte chaleur ! Il semble y avoir un petit village sur notre gauche et un petit pont, juste accessible aux piétons et accessoirement aux vélos, nous invite à franchir le fleuve. De l'autre coté, de grands peupliers protègent quelques maisons du soleil. Il ya de l'eau qui coule, de l'herbe, un grand jardin autour d'une belle maison et une agitation particulière qui nous étonne: c'est la consultation d'une équipe de dentistes allemands venus aider la population locale à soigner ses dents. Un moment agréable de repos à l'ombre à discuter avec ces bénévoles généreux.
Mais il faut repartir si nous voulons arriver à Upshi ce soir, distant d'encore 40 kilomètres ! Sous le soleil, les gorges de l'Indus sont vraiment spectaculaires et les arrêts photos nombreux. Vers 14h, nous arrivons à Hymia où nous savons qu'il y a un restaurant. Il y a de l'ombre, du riz et des lentilles, donc tout va bien. Patricia en profite pour faire une petite sieste pour laisser passer les heures chaudes.
Nous repartons vers 16h: le soleil commence à descendre sur l'horizon et vint embraser les parois ocre jaune des gorges déjà magnifiques; ça devient sublime. le destin nous fait traverser à ce moment là un torrent d'eau claire où des jeunes se baignent; il n'en fallait pas plus pour que le sang de Patricia ne fasse qu'un tour: nous nous arrêtons dans un grand crissement de frein, baignade ! L'eau est fraîche et il y a un peu de courant mais la demie-heure passée au bord de ce torrent en compagnie des jeunes ladakhis restera longtemps dans nos mémoires.
Il finit par être tard et nous demandons aux baigneurs s'il n'y a pas moyen de dormir dans le village qui surplombe le torrent. Ils nous y conduisent; l'endroit est paradisiaque: le village est installé sur une large terrasse une centaine de mètres au dessus de la vallée, invisible de la route principale. Des canaux d'irrigation circulent entre les maisons, les champs d'orge ou de patates, les jardins et les rangées de peupliers. Une jeune femme nous propose de monter notre tente près de sa maison et nous invite à manger avec sa famille le soir. Nous nous installons dans cette oasis, au bord d'un petit canal d'irrigation à l'eau pure. Un jeune homme vient nous aider à monter la tente et nous offrir des abricots; le soleil se fait rasant et vient enflammer d'orange la paroi rocheuse au milieu de laquelle est accrochée une Gompa, le monastère du village. C'est le rêve. Et le repas qui nous est servi à l'abri des murs de la grande maison ladakhie n'est pas constitué que de riz et de lentilles: il y a aussi des légumes !

Jour 7 : D6-: 300 m; 20 km.
Nous avons du mal à quitter notre hôtesse et sa maison tant l'endroit est agréable. Mais demain, l'avion ne nous attendra pas ! La vallée est encore magnifique pendant une vingtaine de kilomètres, puis elle s'élargit, perd de son caractère et devient poussiéreuse. Le trafic augmente à mesure que nous nous rapprochons d'Upshi, distant maintenant d'une quinzaine de kilomètres. Il fait chaud, le cœur n'y est plus; un camion arrive derrière nous, nous tendons le pouce, il s'arrête, c'est fini. Deux heures plus tard, nous sommes à Leh, le coeur et les yeux pleins de la lumière magnifique de cette dernière nuit dans ce merveilleux village de Ligche.

Pour ceux que ça intéresse, tout est là: picasaweb.google.com/114757414827040666519/Ladakh2013


Avec : Patricia

Rumtse : Au pied du col Tanglang La
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Tanglang La : Pendant la montée vers 5000 m
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Tanglang La : Vers 5200 m
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Tanglang La : Au col: 5325 m, c'est pas tous les jours !
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Tanglang La : Début de la descente: plus de goudron et ça caille.
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Tso Kar : grues au bord du Tso Kar.
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Tso Kar : On commence à monter au dessus du Tso Kar
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Chang Tang : Vers les col 4950 m; on n'a pas des vies faciles...
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Chang Tang : Enfant de nomade (je crois qu'il s'appelle Clint Eastwood, ou quelque chose comme ça...).
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Chang Tang : L'arrivée au col 4950 m.
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Puga : Nos voisins pour une nuit: des réfugiés tibétains.
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Puga : Repas sous la grande tente.
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Puga : zone géothermique
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Kiagar Tso : Une des plages les plus hautes de la planète (4700 m).
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Tso Moriri : Un petit air de Mongolie
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Korzok : La grande tente-restaurant (riz/lentille).
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Tso Moriri : Coucher de soleil sur le Tso Moriri depuis Korzok
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Tso Moriri : Lever de soleil.
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Tso Moriri : Retour en Mongolie
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Kiagar Tso : L'orage menace, ça file !
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Chang Tang : Fuite sous l'orage.
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Vallée de l'Indus : Descente vers la vallée de l'Indus.
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Vallée de l'Indus : Dans la vallée de l'Indus
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Vallée de l'Indus : Patricia pédale dans la vallée de l'Indus.
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Chumatang : Le "Chumatang Hydrothermal Complex".
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Vallée de l'Indus : Il suffit de passer le pont...
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Gorges de l'Indus : Lumières du soir.
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Gorges de l'Indus : Bain avec les "locaux": bonne ambiance !
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Ligche : L'oasis de Ligche.
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Ligche : La maison de notre hôtesse.
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Ligche : La Gompa de Ligche.
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Ligche : Coucher de soleil.
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Ligche : Et au milieu coule un canal d'irrigation...
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