Départ : Nantes en Ratier (940 m)
Longueur : 29 km
Denivelé : 1750 m
Massif : Ecrins / Taillefer
Sommets associés : Piquet de Nantes Tabor Col de Malissol
Topos associés
Sentiers associés :
- Col de Malissol > la Chaud/St-Honoré 1500 T1GPX
- Le Tabor > Lac Charlet T5GPX
- Le Tabor > Piquet de Nantes par les Crêtes des Barres T4GPX
- Le Piquet de Nantes > Fontaine de Bigasset T4GPX
- Fontaine de Bigasset > Cabane ONF T4GPX
- Cabane ONF > Route de Poyet par la Combe de la Scia T4GPX
- Serre de Malissol > La Chaumeta T3GPX
Sortie du jeudi 12 juin 2014
- Col de Malissol > la Chaud/St-Honoré 1500 : Sans doute plus bucolique que la D115C pour monter à St Honoré 1500, mais de gros raidards, et du D- gâché sur piste. A comparer avec la version full route...
- Le Tabor > Lac Charlet : Pris à la montée. Encore à moitié sous la neige, par contre, ça ne m'a pas trop donné envie d'y revenir...
- Le Tabor > Piquet de Nantes par les Crêtes des Barres : Très bon, malgré le (court) passage NR habituel. Sec et propre.
- Le Piquet de Nantes > Fontaine de Bigasset : Bien sec,mais très poussiéreux et plein de caillasse qui part sous les roues. Pas le meilleur de la sortie...
- Fontaine de Bigasset > Cabane ONF : Nickel propre et sec. Les épingles ne sont vraiment pas données, loin de là...
- Cabane ONF > Route de Poyet par la Combe de la Scia : Super propre et sec (à deux passages boueux près, la faute au ruissellement). Clairement très supérieur à son jumeau de la Grande Combe.
- Serre de Malissol > La Chaumeta : Sec et propre (malgré des pommes de pin en abondance). Typé DH mais bien sympa :)
Compte rendu (par JDV)
Iti suivi : Idem topo jusqu'à St Honoré 1500 -> Lac de Charlet -> le Tabor -> Le Piquet de Nantes puis idem topo
Histoire de venger l'affront de la veille, direction Nantes en Rattier pour un grand classique des débuts de saison: le Piquet de Nantes.
Montée sous le cagnard à St Honoré 1500 (à voir si on ne perdrait pas moins de temps et d'énergie en passant par la route, d'ailleurs), puis nous prenons la décision de monter par le lac de Charlet, que nous n'avions jamais vu.
La montée est effectivement plus efficace que la montée normale du topo, et mène directement au Tabor; seul bémol, une vilaine tendinite au genou me ralentit sur les 300 derniers mètres.
Casse dalle et départ sur la Crête des Barres, toujours bien sympa.
La descente du Piquet de Nantes sur la Fontaine de Bigasset est désormais bien tassée, mais très poussiéreuse et caillouteuse.
Ca part sous les roues, et notamment dans les épingles, pas toutes données, loin de là (étroites, déversantes, remontantes en sortie pour certaines droites).
La suite, entre les pins, est un vrai régal même si, là aussi, les épingles ne sont pas toutes données (serrées, à plat, pas toujours de place pour caser la roue arrière en nosant, etc).
Enorme gavage à mach 12 dans le mélézin :P et on enchaîne avec la Combe de la Scia, très nettement meilleure que sa voisine la Grande Combe.
Un vrai régal jusqu'à la route!
Petit coup de galère dans le sous bois et courte montée par la piste aux Passuers pour faire la crête de Ser Gontier, un peu anecdotique, mais sympa (attention aux pierres coupantes, on ne peut pas trop prendre de vitesse).
Un petit coup de liaison route/piste et on finit avec la DH de Serre Malissol, large et facile, mais assez jouissive à prendre à mach 12 dans les odeurs de pin chauffé :lol:.
Retour à Nantes en rattier par la route ombragée (ou pas) et on retrouve avec plaisir la binouze fraîche planquée le matin même dans la fontaine.
Une super journée sur des super singles pour faire oublier la loose de la veille! Rendez-vous est pris pour juin 2015 :wink:
Quelques photos ce soir.
Commentaires
hola
le versant nord du coiro est il encore bien enneigé ou bien déjà praticable ??
merci
C'est encore bien gavé de neige jusqu'à 1600m, environ.
A vue de nez, il va falloir attendre bien 3 semaines/un mois avant de pouvoir y aller dans des conditions correctes...
merci pour le retour, les JDVeux :wink:
Non, deux petit névés quand nous sommes passés.
Donc 10 jours assez chauds plus tard, j'imagine qu'il ne reste presque rien.