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VDA J4 : Becca di Viou raccourcie 
Région : Val d'Aoste
Départ : Blavy (1477 m)
Longueur : 20 km
Denivelé : 1329 m
Massif : Valais W - Alpes Pennines W
Sommets associés : Becca di Viou
Topos associés
Sentiers associés :
Départ : Blavy (1477 m)
Longueur : 20 km
Denivelé : 1329 m
Massif : Valais W - Alpes Pennines W
Sommets associés : Becca di Viou
Topos associés
Sentiers associés :
Sortie du vendredi 23 août 2024
Conditions terrain
Sec
- Becca di Viou (versant S) : Très varié, technique jusqu'aux premiers arbres puis plus classique (8/10)
Compte rendu (par Yvan74)
Dernier jour dans le VDA avant fermeture du tunnel, je choisis un sommet qui me faisait de l'œil depuis Aoste à chaque fois que j'allais y visiter ma fille à l'automne dernier. Et Pascal me l'a bien vendu.
Ayant déjà roulé le sentier sous Blavy, et souhaitant ne pas finir tard, je décide de découvrir ce sommet en partant directement depuis Blavy. Mais Thierry, toujours aussi difficile à convaincre lorsqu'il s'agit de rouler en VDA, me rejoint, alors on décide de faire une manip voiture pour ajouter la descente sous Blavy quand même.
Montée tranquille sur jolie piste de Blavy jusqu'à Viou (une grosse heure avec les arrêts framboises), puis portage intégral jusqu'au sommet. Les 750m de portage sont hyper efficaces, on est vite au sommet (1h45 de portage). Quelques randonneurs, mais dans l'ensemble on se sent un peu isolés malgré la vue sur Aoste en contrebas.
Descente du sommet sur dalles découpées, dans l'ensemble les lignes sont faisables, on est étonnés d'en rouler autant (peu de pieds à terre finalement).
Du col à l'alpage sous le sommet, c'est une sente épinglue où se mêlent terre et grosses pavasses, faut vraiment être attentif et dynamique pour ne pas casser quelque chose et pour ne pas trop subir. On laissera quelques passages (surtout moi, notamment les marches dans le raide), mais bon intérêt technique.
On rejoint Tza di Viou et Viou sur du bon sentier plus classique avec encore de gros cailloux, mais avec quelques mélèzes et moins de pente.
De Viou à Blavy c'est un long sentier sous les résineux, c'est plus rapide mais jamais lisse (racines, cailloux, et même pierrier !). Génial, exigeant encore avec la vitesse.
De Blavy à Porossan c'est un sentier très rapide, très roulé par les vttistes locaux, lisse mais ponctué de très nombreux renvois d'eau (même en sortie d'épingle), heureusement pas proéminents, un petit saut suffit à chaque fois sans faire de bunny-up de l'espace.
On finit pleinement satisfaits dans la chaleur d'Aoste, la manip voitures est ici justifiée, sinon un aller-retour depuis Blavy serait suffisant pour aller à l'essentiel, le reste en dessous n'étant finalement pas nécessaire.
Je laisse Thierry qui prolonge d'une journée pour aller voir Becca Traversiere, et je rentre dans la Yaute avec le sentiment du devoir (bien) accompli.
Descente du sommet sur dalles découpées, dans l'ensemble les lignes sont faisables, on est étonnés d'en rouler autant (peu de pieds à terre finalement).
Du col à l'alpage sous le sommet, c'est une sente épinglue où se mêlent terre et grosses pavasses, faut vraiment être attentif et dynamique pour ne pas casser quelque chose et pour ne pas trop subir. On laissera quelques passages (surtout moi, notamment les marches dans le raide), mais bon intérêt technique.
On rejoint Tza di Viou et Viou sur du bon sentier plus classique avec encore de gros cailloux, mais avec quelques mélèzes et moins de pente.
De Viou à Blavy c'est un long sentier sous les résineux, c'est plus rapide mais jamais lisse (racines, cailloux, et même pierrier !). Génial, exigeant encore avec la vitesse.
De Blavy à Porossan c'est un sentier très rapide, très roulé par les vttistes locaux, lisse mais ponctué de très nombreux renvois d'eau (même en sortie d'épingle), heureusement pas proéminents, un petit saut suffit à chaque fois sans faire de bunny-up de l'espace.
On finit pleinement satisfaits dans la chaleur d'Aoste, la manip voitures est ici justifiée, sinon un aller-retour depuis Blavy serait suffisant pour aller à l'essentiel, le reste en dessous n'étant finalement pas nécessaire.
Je laisse Thierry qui prolonge d'une journée pour aller voir Becca Traversiere, et je rentre dans la Yaute avec le sentiment du devoir (bien) accompli.
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