Départ : Ugine (426 m)
Longueur : 42 km
Denivelé : 2300 m
Massif : Beaufortain
Sommets associés : La Croix de Coste
Sentiers associés :
Sortie du samedi 07 mai 2011
Conditions terrain
Sec, what else
- Dév'Albertville : Parcouru entre le Col de la Forclaz et Montessuit. Rrapide, une très courte portion bien raide et poussiéreuse
- Croix de Coste : Sec, la descente sur les gorges de l'Arly manque de passage. Le single, excellent par endroit est souvent peu marqué dans le haut.En cas de pousse végétale, ca va être tendu par endroit
Compte rendu (par totoff)
Départ du charmant bourg d'Ugine pour une premère montée au Col de la Forclaz de Queige. Un petit tour au milieu des prés, on en profite l'herbe est pas haute cette année. Au Col, on "file" sur la Dev'Albertville, pas vraiment dev à cet endroit, ca roule pas mal jusqu'à Cornillon puis Montessuit. Faut juste pas lever la tête pour éviter de voir les pylones. Défrichage ensuite pour une boucle bien sympa jusqu'à Arechettaz puis la rive gauche du Doron où on jardiné un bon moment dans des ravines bien pentues. Les joies du défrichage ! On finit quand même par récupérer un chemin plus standard: la Transbeaufortaine. C'est pas tout, il faut remonter à la Croix de Coste. Premier contact avec la gente canine au-dessus des Iles, avec chaine celui-là et heureusement quelle était solide. Deux rotweillers plus loin, sans chaines ceux là ont transformé Tof en Contador alors que j'attendais résigné à me faire bouffer. Ca craint:-(
Derrière , passage au Lac des Saisies puis Croix de Coste en AR et la descente sur l'Arly. Histoire d'innover, on quitte la descente vers 700m pour une ligne hypothétique à flanc. Finalement, ca passe tout le long et il y a même quelques traces de réfection de la sente (wait and see) On continue dans le mode défrichage, version Indiana Jones au-dessus de l'aciérie jusqu'au lieu dit les Groultes, un bout de route improbable avec des carcasses de bagnoles, de vieux tracteurs de monstrueux tas de fumiers et ...deux énormes molosses. Ca commençait vraiment à sentir mauvais cette histoire. Bingo, le propriétaire des lieux, sortant de l'étable, a réussi difficilement à les rappeler in extremis. Ouf!
Une bonne bambée comme on les adore.


