Départ : Abriès (1540 m)
Longueur : 31 km
Denivelé : 2160 m
Massif : Queyras / Alpes Cottiennes
Sommets associés : Bric Froid
Topos associés
Sentiers associés :
Sortie du lundi 27 juillet 2020
- Bric Froid (versant Italien) : La partie du sommet au col de la Ramière est la plus intéressante. D'accord avec la cotation de Geux : T4+ dans l'ensemble, le 5 étant très localisé, un peu avant le col (2 ou 3 bonnes marches) et dans la fin de l'éboulis sous la col (sentier vraiment pas propre).
- Col des Thures (versant SE) : la descente du col des Thures ne cassent pas 3 pattes à un canard : jamais suffisamment technique pour être vraiment intéressante, mais toujours trop raide pour tuer toute idée de flow, est plus une purge (que je vais d'ailleurs devoir faire sur mon frein AR qui n'a pas apprécié les 1000 m de descente "tout sur les freins") qu'une tuerie....
- Col de Rasis > Col des Thures : Belle section
Compte rendu (par Mika)
Iti suivi : Abriès - Montagne de Malrif - col Rasis - col des Thures - Bric Froid - col de la Ramière - col des Thures - le Roux d'Abriès - Abriès
Sortie organisée par Flo et "collective" regroupant 3 membres des cyclo-alpinismo et 2 frenchies. Très sympa le gruppetto ! Un bon moment de partage avec ceux qui écument les sentiers des reliefs cis-alpines.
Au terme des 600 premiers m sur piste roulé à un bon rythme, je ne suis pas mécontent de mettre le vélo un peu sur le dos : je ne vais pas tenir 2000 m de D+ à ce rythme ...
La remontée de la Montagne de Malrif par les canaux vaut ce qu'elle vaut sur le plan cyclable, mais c'est très bucolique sur le plan paysager. Un bon coup de cul final nous mène au col de Rasis. Là haut, ça caille sévère, la faute à un fort vent de NW.
On casse la croûte rapido et on dévale la sente assez sympa jusqu'au col des Thures où l'on embraye sans s'arrêter par l'ascension de la crête SO (comme à chaque fois en altitude, des randonneurs nous regardent surpris de voir des cyclistes dans ces pentes...)
La descente vers le colle della Ramiere roule plutôt pas mal, mais à ces altitudes, on ressent tout de même les efforts à chaque franchissements ou épingles. Sous le colle della Ramiere, c'est gestion de la glisse dans la première partie, puis gestion de la trajectoire dans les pavasses qui roulent sous les pneus ensuite.
Si vous voulez mon avis (et, en fait, même si vous ne le voulez pas :-)) ), la descente du col des Thures est plus une purge (d'ailleurs, c'est ce que je vais devoir faire à mon frein ar qui n'a pas apprécié les 1000 m de descente tout sur les freins...) qu'une tuerie...
Pour terminer, Flo nous propose un peu de flow du côté de la station d'Abriès.
Final devant une bière à Abriès, à discuter sommets avec les amis italiens : les 50 cl ne suffisent pas à passer en revue la to do list interminable...
PS : désolé, photos pas top, manifestement l'APN a pris un coup sur le casque...
Avec : Flo, Bobo, Flavio, Richard